Et si on écrivait quelques mots
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Et si on écrivait quelques mots
Bonjour à tous et toutes
Chacun me connait maintenant soit en virtuel ou en visuel, et je suis sur que vous savez aussi que de temps à autre j'ai la plume qui me démange, et je réalise des petits poèmes que je donne en correction à Martine, avant de vous en faire part
Encore merci Martine pour ta patience et ta disponibilité
Alors je me dis que parmi vous il y a aussi des poètes qui s'ignore, et pour éveiller le poète qui sommeille en vous je vous propose d'écrire chacun une phrase ou un mot à la suite des écrits qui seront déjà publier
En gros faire un marabout comme celui que nous avions fait en 2014 et dont je ne retrouve plus le lien, c'est dommage mais je pense que nous ne l'avons pas transféré de l'ancien forum.
Cette fois le sujet serait sur la fermeture de la truite qui arrive à grand pas
Bien sur je lance les premiers mots, à vous de les copier et les coller avec la réponse que vous écrirez
La fermeture
En ce matin brumeux de septembre.......
Chacun me connait maintenant soit en virtuel ou en visuel, et je suis sur que vous savez aussi que de temps à autre j'ai la plume qui me démange, et je réalise des petits poèmes que je donne en correction à Martine, avant de vous en faire part
Encore merci Martine pour ta patience et ta disponibilité
Alors je me dis que parmi vous il y a aussi des poètes qui s'ignore, et pour éveiller le poète qui sommeille en vous je vous propose d'écrire chacun une phrase ou un mot à la suite des écrits qui seront déjà publier
En gros faire un marabout comme celui que nous avions fait en 2014 et dont je ne retrouve plus le lien, c'est dommage mais je pense que nous ne l'avons pas transféré de l'ancien forum.
Cette fois le sujet serait sur la fermeture de la truite qui arrive à grand pas
Bien sur je lance les premiers mots, à vous de les copier et les coller avec la réponse que vous écrirez
La fermeture
En ce matin brumeux de septembre.......
pappy-jeff Administrateur - Date d'inscription : 15/02/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
La fermeture
En ce matin brumeux de septembre j’arrive sur mon lieu de pêche avec........
En ce matin brumeux de septembre j’arrive sur mon lieu de pêche avec........
pierrot Equipe N&P - Date d'inscription : 15/02/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j’arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car.......
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Jérémy
Baloo + de 150 posts - Date d'inscription : 06/03/2016
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le coeur lourd car je sais la fin de saison proche mais......
Beaubery + de 1000 posts - Date d'inscription : 06/06/2016
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le coeur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours ...
Erg74 + de 1000 posts - Date d'inscription : 17/05/2016
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière,c'est de bon augure.Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur...
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Fred
Fred Administrateur - Date d'inscription : 07/02/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière,c'est de bon augure.Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur.J'adapte ma plombée,règle la hauteur de mon rigolletto,esche mon hameçon de mon plus beau vers de terreau puis d'un geste sur et précis je lance vers l'incertaine truite.Ma ligne dérive correctement quand soudain.......
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franck
Kenat + de 500 posts - Date d'inscription : 09/03/2016
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière,c'est de bon augure.Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur.J'adapte ma plombée,règle la hauteur de mon rigolletto,esche mon hameçon de mon plus beau vers de terreau puis d'un geste sur et précis je lance vers l'incertaine truite.Ma ligne dérive correctement quand soudain, ce qui n'était que probabilité devint.....
pappy-jeff Administrateur - Date d'inscription : 15/02/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière, c'est de bon augure. Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur. J'adapte ma plombée, règle la hauteur de mon rigoletto, esche mon hameçon de mon plus beau ver de terreau puis d'un geste sûr et précis je lance vers l'incertaine truite. Ma ligne dérive correctement quand soudain, ce qui n'était que probabilité devient réalité, la belle s'est faite piégée, l'hameçon est bien ancré dans sa gueule charnue ...
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Un vrai secret est un secret gardé pour soi. On fait toujours assez confiance à un ami pour le lui confier, mais lui aura assez confiance en un de ses amis pour en faire de même et ainsi de suite. Ainsi un secret ne vous appartient plus et se répand très vite.
Mon AAPPMA : Les pêcheurs du haut Guiers
Mes Blogs :
Truites & Compagnies
Une nymphe pour pêcher
Léo + de 1000 posts - Date d'inscription : 03/03/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
Félicitation messieurs, nous sommes en plein suspens, mais que va t-il se passer ? Les cerveaux bouillonnent et les doigts ne demandent qu'à effleurer le clavier
Vivement la suite
A+
Vivement la suite
A+
pappy-jeff Administrateur - Date d'inscription : 15/02/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
A ce moment la le réveil sonne pour aller au boulot, ce n'était qu'un reve zut...
jean-remy 34 + de 350 posts - Date d'inscription : 03/03/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
Je propose de garder cette phrase comme mot de la finjean-remy 34 a écrit:A ce moment la le réveil sonne pour aller au boulot, ce n'était qu'un reve zut...
pappy-jeff Administrateur - Date d'inscription : 15/02/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière, c'est de bon augure. Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur. J'adapte ma plombée, règle la hauteur de mon rigoletto, esche mon hameçon de mon plus beau ver de terreau puis d'un geste sûr et précis je lance vers l'incertaine truite. Ma ligne dérive correctement quand soudain, ce qui n'était que probabilité devient réalité, la belle s'est faite piégée, l'hameçon est bien ancré dans sa gueule charnue, le fil se tend, le scion plie,...
pappy-jeff Administrateur - Date d'inscription : 15/02/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
Encore une fermeture de pêcheur au toc ,mais ou sont les moucheurs et les leurristes
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Fred
Fred Administrateur - Date d'inscription : 07/02/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
Un moucheur digne de ce nom ne va pas se mélanger aux tocqueurs voyonsFred a écrit:Encore une fermeture de pêcheur au toc ,mais ou sont les moucheurs et les leurristes
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Gil
Pêcheur de rascaillettes :
gilou + de 500 posts - Date d'inscription : 15/02/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière, c'est de bon augure. Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur. J'adapte ma plombée, règle la hauteur de mon rigoletto, esche mon hameçon de mon plus beau ver de terreau puis d'un geste sûr et précis je lance vers l'incertaine truite. Ma ligne dérive correctement quand soudain, ce qui n'était que probabilité devient réalité, la belle s'est faite piégée, l'hameçon est bien ancré dans sa gueule charnue, le fil se tend, le scion plie,le combat commence.Quel plaisir de voir........
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franck
Kenat + de 500 posts - Date d'inscription : 09/03/2016
Re: Et si on écrivait quelques mots
Fred a écrit:Encore une fermeture de pêcheur au toc ,mais ou sont les moucheurs et les leurristes
gilou a écrit:Un moucheur digne de ce nom ne va pas se mélanger aux tocqueurs voyonsFred a écrit:Encore une fermeture de pêcheur au toc ,mais ou sont les moucheurs et les leurristes
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franck
Kenat + de 500 posts - Date d'inscription : 09/03/2016
Re: Et si on écrivait quelques mots
Y'a plus personne pour jouer au jeu pourtant j'ai envie de connaitre la fin de l'histoire moi
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franck
Kenat + de 500 posts - Date d'inscription : 09/03/2016
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière, c'est de bon augure. Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur. J'adapte ma plombée, règle la hauteur de mon rigoletto, esche mon hameçon de mon plus beau ver de terreau puis d'un geste sûr et précis je lance vers l'incertaine truite. Ma ligne dérive correctement quand soudain, ce qui n'était que probabilité devient réalité, la belle s'est faite piégée, l'hameçon est bien ancré dans sa gueule charnue, le fil se tend, le scion plie,le combat commence.Quel plaisir de voir ce poisson si sauvage enchaine cascades de hautes voltige.Soudain la belle,dans un dernier élan d'espoir,décide de jeter ses dernières forces dans la veine d'eau la plus puissante.Le frein de mon moulinet pas assez bien serre............
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franck
Kenat + de 500 posts - Date d'inscription : 09/03/2016
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière, c'est de bon augure. Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur. J'adapte ma plombée, règle la hauteur de mon rigoletto, esche mon hameçon de mon plus beau ver de terreau puis d'un geste sûr et précis je lance vers l'incertaine truite. Ma ligne dérive correctement quand soudain, ce qui n'était que probabilité devient réalité, la belle s'est faite piégée, l'hameçon est bien ancré dans sa gueule charnue, le fil se tend, le scion plie,le combat commence.Quel plaisir de voir ce poisson si sauvage enchaine cascades de hautes voltige.Soudain la belle,dans un dernier élan d'espoir, décide de jeter ses dernières forces dans la veine d'eau la plus puissante.
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, de suite je pense......
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, de suite je pense......
pappy-jeff Administrateur - Date d'inscription : 15/02/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière, c'est de bon augure. Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur. J'adapte ma plombée, règle la hauteur de mon rigoletto, esche mon hameçon de mon plus beau ver de terreau puis d'un geste sûr et précis je lance vers l'incertaine truite. Ma ligne dérive correctement quand soudain, ce qui n'était que probabilité devient réalité, la belle s'est faite piégée, l'hameçon est bien ancré dans sa gueule charnue, le fil se tend, le scion plie,le combat commence.Quel plaisir de voir ce poisson si sauvage enchaîner cascades de haute voltige. Soudain la belle,dans un dernier élan d'espoir, décide de jeter ses dernières forces dans la veine d'eau la plus puissante.
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige ...
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige ...
RV74 Administrateur - Date d'inscription : 01/03/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière, c'est de bon augure. Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur. J'adapte ma plombée, règle la hauteur de mon rigoletto, esche mon hameçon de mon plus beau ver de terreau puis d'un geste sûr et précis je lance vers l'incertaine truite. Ma ligne dérive correctement quand soudain, ce qui n'était que probabilité devient réalité, la belle s'est faite piégée, l'hameçon est bien ancré dans sa gueule charnue, le fil se tend, le scion plie,le combat commence.Quel plaisir de voir ce poisson si sauvage enchaîner cascades de haute voltige. Soudain la belle,dans un dernier élan d'espoir, décide de jeter ses dernières forces dans la veine d'eau la plus puissante.
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige; Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussi à déséquilibrer la truite ...
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige; Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussi à déséquilibrer la truite ...
Erg74 + de 1000 posts - Date d'inscription : 17/05/2016
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière, c'est de bon augure. Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur. J'adapte ma plombée, règle la hauteur de mon rigoletto, esche mon hameçon de mon plus beau ver de terreau puis d'un geste sûr et précis je lance vers l'incertaine truite. Ma ligne dérive correctement quand soudain, ce qui n'était que probabilité devient réalité, la belle s'est faite piégée, l'hameçon est bien ancré dans sa gueule charnue, le fil se tend, le scion plie,le combat commence.Quel plaisir de voir ce poisson si sauvage enchaîner cascades de haute voltige. Soudain la belle,dans un dernier élan d'espoir, décide de jeter ses dernières forces dans la veine d'eau la plus puissante.
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige; Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussi à déséquilibrer la truite ...
ça y'est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdit, mon épuisette ...
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige; Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussi à déséquilibrer la truite ...
ça y'est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdit, mon épuisette ...
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Laurent
"La passion fait de nous un peuple sans raison"
Sempre Sainté + de 1000 posts - Date d'inscription : 04/03/2016
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière, c'est de bon augure. Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur. J'adapte ma plombée, règle la hauteur de mon rigoletto, esche mon hameçon de mon plus beau ver de terreau puis d'un geste sûr et précis je lance vers l'incertaine truite. Ma ligne dérive correctement quand soudain, ce qui n'était que probabilité devient réalité, la belle s'est faite piégée, l'hameçon est bien ancré dans sa gueule charnue, le fil se tend, le scion plie,le combat commence. Quel plaisir de voir ce poisson si sauvage enchaîner cascades de haute voltige. Soudain la belle,dans un dernier élan d'espoir, décide de jeter ses dernières forces dans la veine d'eau la plus puissante.
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige. Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussis à déséquilibrer la truite ...
Ça y' est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdi, mon épuisette s'est accrochée à la boucle métallique de la bretelle de mon panier. Je vais devoir la cueillir à la main ...
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige. Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussis à déséquilibrer la truite ...
Ça y' est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdi, mon épuisette s'est accrochée à la boucle métallique de la bretelle de mon panier. Je vais devoir la cueillir à la main ...
Erg74 + de 1000 posts - Date d'inscription : 17/05/2016
Fred Administrateur - Date d'inscription : 07/02/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière, c'est de bon augure. Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur. J'adapte ma plombée, règle la hauteur de mon rigoletto, esche mon hameçon de mon plus beau ver de terreau puis d'un geste sûr et précis je lance vers l'incertaine truite. Ma ligne dérive correctement quand soudain, ce qui n'était que probabilité devient réalité, la belle s'est faite piégée, l'hameçon est bien ancré dans sa gueule charnue, le fil se tend, le scion plie, le combat commence. Quel plaisir de voir ce poisson si sauvage enchaîner des cascades de haute voltige. Soudain la belle,dans un dernier élan d'espoir, décide de jeter ses dernières forces dans la veine d'eau la plus puissante.
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige. Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussis à déséquilibrer la truite ...
Ça y' est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdi, mon épuisette s'est accrochée à la boucle métallique de la bretelle de mon panier. Je vais devoir la cueillir à la main. En me baissant, cette satanée épuisette butte sur le rocher, fait faire un demi tour au panier, qui se déverse, me déséquilibre...
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige. Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussis à déséquilibrer la truite ...
Ça y' est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdi, mon épuisette s'est accrochée à la boucle métallique de la bretelle de mon panier. Je vais devoir la cueillir à la main. En me baissant, cette satanée épuisette butte sur le rocher, fait faire un demi tour au panier, qui se déverse, me déséquilibre...
cerciel + de 500 posts - Date d'inscription : 01/03/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
Fred a écrit:T'as un panier Eric ,viandard
Je sais pas pourquoi, je l'attendais celle-là
Erg74 + de 1000 posts - Date d'inscription : 17/05/2016
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière, c'est de bon augure. Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur. J'adapte ma plombée, règle la hauteur de mon rigoletto, esche mon hameçon de mon plus beau ver de terreau puis d'un geste sûr et précis je lance vers l'incertaine truite. Ma ligne dérive correctement quand soudain, ce qui n'était que probabilité devient réalité, la belle s'est faite piégée, l'hameçon est bien ancré dans sa gueule charnue, le fil se tend, le scion plie, le combat commence. Quel plaisir de voir ce poisson si sauvage enchaîner des cascades de haute voltige. Soudain la belle,dans un dernier élan d'espoir, décide de jeter ses dernières forces dans la veine d'eau la plus puissante.
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige. Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussis à déséquilibrer la truite ...
Ça y' est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdi, mon épuisette s'est accrochée à la boucle métallique de la bretelle de mon panier. Je vais devoir la cueillir à la main. En me baissant, cette satanée épuisette butte sur le rocher, fait faire un demi tour au panier, qui se déverse, me déséquilibre, je chute lourdement les fesses dans une flaque entre les gros blocs. Mon premier réflexe ...
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige. Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussis à déséquilibrer la truite ...
Ça y' est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdi, mon épuisette s'est accrochée à la boucle métallique de la bretelle de mon panier. Je vais devoir la cueillir à la main. En me baissant, cette satanée épuisette butte sur le rocher, fait faire un demi tour au panier, qui se déverse, me déséquilibre, je chute lourdement les fesses dans une flaque entre les gros blocs. Mon premier réflexe ...
RV74 Administrateur - Date d'inscription : 01/03/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière, c'est de bon augure. Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur. J'adapte ma plombée, règle la hauteur de mon rigoletto, esche mon hameçon de mon plus beau ver de terreau puis d'un geste sûr et précis je lance vers l'incertaine truite. Ma ligne dérive correctement quand soudain, ce qui n'était que probabilité devient réalité, la belle s'est faite piégée, l'hameçon est bien ancré dans sa gueule charnue, le fil se tend, le scion plie, le combat commence. Quel plaisir de voir ce poisson si sauvage enchaîner des cascades de haute voltige. Soudain la belle,dans un dernier élan d'espoir, décide de jeter ses dernières forces dans la veine d'eau la plus puissante.
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige. Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussis à déséquilibrer la truite ...
Ça y' est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdi, mon épuisette s'est accrochée à la boucle métallique de la bretelle de mon panier. Je vais devoir la cueillir à la main. En me baissant, cette satanée épuisette butte sur le rocher, fait faire un demi tour au panier, qui se déverse, me déséquilibre, je chute lourdement les fesses dans une flaque entre les gros blocs.
Mon premier réflexe, et de sauver la canne, tant pis pour les bleus, alors d'un geste.....
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige. Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussis à déséquilibrer la truite ...
Ça y' est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdi, mon épuisette s'est accrochée à la boucle métallique de la bretelle de mon panier. Je vais devoir la cueillir à la main. En me baissant, cette satanée épuisette butte sur le rocher, fait faire un demi tour au panier, qui se déverse, me déséquilibre, je chute lourdement les fesses dans une flaque entre les gros blocs.
Mon premier réflexe, et de sauver la canne, tant pis pour les bleus, alors d'un geste.....
pappy-jeff Administrateur - Date d'inscription : 15/02/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière, c'est de bon augure. Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur. J'adapte ma plombée, règle la hauteur de mon rigoletto, esche mon hameçon de mon plus beau ver de terreau puis d'un geste sûr et précis je lance vers l'incertaine truite. Ma ligne dérive correctement quand soudain, ce qui n'était que probabilité devient réalité, la belle s'est faite piégée, l'hameçon est bien ancré dans sa gueule charnue, le fil se tend, le scion plie, le combat commence. Quel plaisir de voir ce poisson si sauvage enchaîner des cascades de haute voltige. Soudain la belle,dans un dernier élan d'espoir, décide de jeter ses dernières forces dans la veine d'eau la plus puissante.
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige. Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussis à déséquilibrer la truite ...
Ça y' est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdi, mon épuisette s'est accrochée à la boucle métallique de la bretelle de mon panier. Je vais devoir la cueillir à la main. En me baissant, cette satanée épuisette butte sur le rocher, fait faire un demi tour au panier, qui se déverse, me déséquilibre, je chute lourdement les fesses dans une flaque entre les gros blocs.
Mon premier réflexe, et de sauver la canne, tant pis pour les bleus, alors d'un geste désespéré je tente de mouliner pour revenir en contact avec la belle et a.............
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige. Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussis à déséquilibrer la truite ...
Ça y' est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdi, mon épuisette s'est accrochée à la boucle métallique de la bretelle de mon panier. Je vais devoir la cueillir à la main. En me baissant, cette satanée épuisette butte sur le rocher, fait faire un demi tour au panier, qui se déverse, me déséquilibre, je chute lourdement les fesses dans une flaque entre les gros blocs.
Mon premier réflexe, et de sauver la canne, tant pis pour les bleus, alors d'un geste désespéré je tente de mouliner pour revenir en contact avec la belle et a.............
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franck
Kenat + de 500 posts - Date d'inscription : 09/03/2016
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière, c'est de bon augure. Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur. J'adapte ma plombée, règle la hauteur de mon rigoletto, esche mon hameçon de mon plus beau ver de terreau puis d'un geste sûr et précis je lance vers l'incertaine truite. Ma ligne dérive correctement quand soudain, ce qui n'était que probabilité devient réalité, la belle s'est faite piégée, l'hameçon est bien ancré dans sa gueule charnue, le fil se tend, le scion plie, le combat commence. Quel plaisir de voir ce poisson si sauvage enchaîner des cascades de haute voltige. Soudain la belle,dans un dernier élan d'espoir, décide de jeter ses dernières forces dans la veine d'eau la plus puissante.
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige. Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussis à déséquilibrer la truite ...
Ça y' est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdi, mon épuisette s'est accrochée à la boucle métallique de la bretelle de mon panier. Je vais devoir la cueillir à la main. En me baissant, cette satanée épuisette bute sur le rocher, fait faire un demi tour au panier, qui se déverse, me déséquilibre, je chute lourdement les fesses dans une flaque entre les gros blocs.
Mon premier réflexe, est de sauver la canne, tant pis pour les bleus, alors d'un geste désespéré je tente de mouliner pour revenir en contact avec la belle et à cet instant retentit.......
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige. Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussis à déséquilibrer la truite ...
Ça y' est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdi, mon épuisette s'est accrochée à la boucle métallique de la bretelle de mon panier. Je vais devoir la cueillir à la main. En me baissant, cette satanée épuisette bute sur le rocher, fait faire un demi tour au panier, qui se déverse, me déséquilibre, je chute lourdement les fesses dans une flaque entre les gros blocs.
Mon premier réflexe, est de sauver la canne, tant pis pour les bleus, alors d'un geste désespéré je tente de mouliner pour revenir en contact avec la belle et à cet instant retentit.......
pappy-jeff Administrateur - Date d'inscription : 15/02/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière, c'est de bon augure. Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur. J'adapte ma plombée, règle la hauteur de mon rigoletto, esche mon hameçon de mon plus beau ver de terreau puis d'un geste sûr et précis je lance vers l'incertaine truite. Ma ligne dérive correctement quand soudain, ce qui n'était que probabilité devient réalité, la belle s'est faite piégée, l'hameçon est bien ancré dans sa gueule charnue, le fil se tend, le scion plie, le combat commence. Quel plaisir de voir ce poisson si sauvage enchaîner des cascades de haute voltige. Soudain la belle,dans un dernier élan d'espoir, décide de jeter ses dernières forces dans la veine d'eau la plus puissante.
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige. Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussis à déséquilibrer la truite ...
Ça y' est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdi, mon épuisette s'est accrochée à la boucle métallique de la bretelle de mon panier. Je vais devoir la cueillir à la main. En me baissant, cette satanée épuisette bute sur le rocher, fait faire un demi tour au panier, qui se déverse, me déséquilibre, je chute lourdement les fesses dans une flaque entre les gros blocs.
Mon premier réflexe, est de sauver la canne, tant pis pour les bleus, alors d'un geste désespéré je tente de mouliner pour revenir en contact avec la belle et à cet instant retentit la sonnerie de mon portable que j'aperçois à mes pieds dans 20 cm d'eau. Il a du tomber lors de ma chute.
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige. Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussis à déséquilibrer la truite ...
Ça y' est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdi, mon épuisette s'est accrochée à la boucle métallique de la bretelle de mon panier. Je vais devoir la cueillir à la main. En me baissant, cette satanée épuisette bute sur le rocher, fait faire un demi tour au panier, qui se déverse, me déséquilibre, je chute lourdement les fesses dans une flaque entre les gros blocs.
Mon premier réflexe, est de sauver la canne, tant pis pour les bleus, alors d'un geste désespéré je tente de mouliner pour revenir en contact avec la belle et à cet instant retentit la sonnerie de mon portable que j'aperçois à mes pieds dans 20 cm d'eau. Il a du tomber lors de ma chute.
RV74 Administrateur - Date d'inscription : 01/03/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
pappy-jeff a écrit:et de sauver la canne, tant pis pour les bleus, alors d'un geste.....
tant pis pour les bleus, d’où viens la recette ......la truite au bleu
cerciel + de 500 posts - Date d'inscription : 01/03/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
cerciel a écrit:pappy-jeff a écrit:et de sauver la canne, tant pis pour les bleus, alors d'un geste.....
tant pis pour les bleus, d’où viens la recette ......la truite au bleu
RV74 a écrit:et à cet instant retentit la sonnerie de mon portable que j'aperçois à mes pieds dans 20 cm d'eau. Il a du tomber lors de ma chute.
Ça c'est du téléphone, même sous 20 cm d'eau, on entend la sonnerie
J'imagine déja la truite qui répond
Erg74 + de 1000 posts - Date d'inscription : 17/05/2016
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière, c'est de bon augure. Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur. J'adapte ma plombée, règle la hauteur de mon rigoletto, esche mon hameçon de mon plus beau ver de terreau puis d'un geste sûr et précis je lance vers l'incertaine truite. Ma ligne dérive correctement quand soudain, ce qui n'était que probabilité devient réalité, la belle s'est faite piégée, l'hameçon est bien ancré dans sa gueule charnue, le fil se tend, le scion plie, le combat commence. Quel plaisir de voir ce poisson si sauvage enchaîner des cascades de haute voltige. Soudain la belle,dans un dernier élan d'espoir, décide de jeter ses dernières forces dans la veine d'eau la plus puissante.
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige. Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussis à déséquilibrer la truite ...
Ça y' est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdi, mon épuisette s'est accrochée à la boucle métallique de la bretelle de mon panier. Je vais devoir la cueillir à la main. En me baissant, cette satanée épuisette bute sur le rocher, fait faire un demi tour au panier, qui se déverse, me déséquilibre, je chute lourdement les fesses dans une flaque entre les gros blocs.
Mon premier réflexe, est de sauver la canne, tant pis pour les bleus, alors d'un geste désespéré je tente de mouliner pour revenir en contact avec la belle et à cet instant retentit la sonnerie de mon portable que j'aperçois à mes pieds dans 20 cm d'eau. Il a du tomber lors de ma chute.
A ma grande surprise, ce n'est pas le téléphone qui sonne, mais le réveil pour aller au boulot, ce n'était qu'un rêve zut.
Mais qu'il ,,,,,,
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige. Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussis à déséquilibrer la truite ...
Ça y' est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdi, mon épuisette s'est accrochée à la boucle métallique de la bretelle de mon panier. Je vais devoir la cueillir à la main. En me baissant, cette satanée épuisette bute sur le rocher, fait faire un demi tour au panier, qui se déverse, me déséquilibre, je chute lourdement les fesses dans une flaque entre les gros blocs.
Mon premier réflexe, est de sauver la canne, tant pis pour les bleus, alors d'un geste désespéré je tente de mouliner pour revenir en contact avec la belle et à cet instant retentit la sonnerie de mon portable que j'aperçois à mes pieds dans 20 cm d'eau. Il a du tomber lors de ma chute.
A ma grande surprise, ce n'est pas le téléphone qui sonne, mais le réveil pour aller au boulot, ce n'était qu'un rêve zut.
Mais qu'il ,,,,,,
pappy-jeff Administrateur - Date d'inscription : 15/02/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
Personne pour finaliser la fin de cette histoire avant sa mise en page ??
A+
A+
pappy-jeff Administrateur - Date d'inscription : 15/02/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière, c'est de bon augure. Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur. J'adapte ma plombée, règle la hauteur de mon rigoletto, esche mon hameçon de mon plus beau ver de terreau puis d'un geste sûr et précis je lance vers l'incertaine truite. Ma ligne dérive correctement quand soudain, ce qui n'était que probabilité devient réalité, la belle s'est faite piégée, l'hameçon est bien ancré dans sa gueule charnue, le fil se tend, le scion plie, le combat commence. Quel plaisir de voir ce poisson si sauvage enchaîner des cascades de haute voltige. Soudain la belle,dans un dernier élan d'espoir, décide de jeter ses dernières forces dans la veine d'eau la plus puissante.
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige. Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussis à déséquilibrer la truite ...
Ça y' est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdi, mon épuisette s'est accrochée à la boucle métallique de la bretelle de mon panier. Je vais devoir la cueillir à la main. En me baissant, cette satanée épuisette bute sur le rocher, fait faire un demi tour au panier, qui se déverse, me déséquilibre, je chute lourdement les fesses dans une flaque entre les gros blocs.
Mon premier réflexe, est de sauver la canne, tant pis pour les bleus, alors d'un geste désespéré je tente de mouliner pour revenir en contact avec la belle et à cet instant retentit la sonnerie de mon portable que j'aperçois à mes pieds dans 20 cm d'eau. Il a du tomber lors de ma chute.
A ma grande surprise, ce n'est pas le téléphone qui sonne, mais le réveil pour aller au boulot, ce n'était qu'un rêve zut.
Mais qu'il est si dur de se dire que ce ne fût qu'un rêve car elle était là, je l'avais au bout de mes doigts, je la voyais déjà, elle la déesse de la rivière, celle de tant de convoitise, se tenir au creux de ma main m'offrant sa robe magique faite de ses si belles couleurs...
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige. Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussis à déséquilibrer la truite ...
Ça y' est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdi, mon épuisette s'est accrochée à la boucle métallique de la bretelle de mon panier. Je vais devoir la cueillir à la main. En me baissant, cette satanée épuisette bute sur le rocher, fait faire un demi tour au panier, qui se déverse, me déséquilibre, je chute lourdement les fesses dans une flaque entre les gros blocs.
Mon premier réflexe, est de sauver la canne, tant pis pour les bleus, alors d'un geste désespéré je tente de mouliner pour revenir en contact avec la belle et à cet instant retentit la sonnerie de mon portable que j'aperçois à mes pieds dans 20 cm d'eau. Il a du tomber lors de ma chute.
A ma grande surprise, ce n'est pas le téléphone qui sonne, mais le réveil pour aller au boulot, ce n'était qu'un rêve zut.
Mais qu'il est si dur de se dire que ce ne fût qu'un rêve car elle était là, je l'avais au bout de mes doigts, je la voyais déjà, elle la déesse de la rivière, celle de tant de convoitise, se tenir au creux de ma main m'offrant sa robe magique faite de ses si belles couleurs...
Beaubery + de 1000 posts - Date d'inscription : 06/06/2016
Re: Et si on écrivait quelques mots
Re: Et si on écrivait quelques mots
par Beaubery Aujourd'hui à 16:25En ce matin brumeux de septembre j'arrive sur mon lieu de pêche avec le cœur lourd car je sais la fin de saison proche, mais plein d'espoir aussi, cette période m'ayant toujours apporté mes plus belles. La pluie des derniers jours a légèrement grossi la rivière, c'est de bon augure. Je déplie ma canne machinalement, un œil vers l 'amont sur ce coup qui me semble déjà prometteur. J'adapte ma plombée, règle la hauteur de mon rigoletto, esche mon hameçon de mon plus beau ver de terreau puis d'un geste sûr et précis je lance vers l'incertaine truite. Ma ligne dérive correctement quand soudain, ce qui n'était que probabilité devient réalité, la belle s'est faite piégée, l'hameçon est bien ancré dans sa gueule charnue, le fil se tend, le scion plie, le combat commence. Quel plaisir de voir ce poisson si sauvage enchaîner des cascades de haute voltige. Soudain la belle,dans un dernier élan d'espoir, décide de jeter ses dernières forces dans la veine d'eau la plus puissante.
Le frein de mon moulinet pas assez bien serré déroule dans un clic clic caractéristique une longueur énorme de fil, tout de suite je pense à la casse dans les racines sur la berge d'en face où la rebelle se dirige. Tout en freinant le fil entre le liège et mes doigts, je couche la canne sur le côté et réussis à déséquilibrer la truite ...
Ça y' est, je commence à l'apercevoir. Délicatement, j'essaie de me la ramener à proximité en essayant de décrocher mon épuisette pour abréger le combat. Mon dieu que je ne suis pas dégourdi, mon épuisette s'est accrochée à la boucle métallique de la bretelle de mon panier. Je vais devoir la cueillir à la main. En me baissant, cette satanée épuisette bute sur le rocher, fait faire un demi tour au panier, qui se déverse, me déséquilibre, je chute lourdement les fesses dans une flaque entre les gros blocs.
Mon premier réflexe, est de sauver la canne, tant pis pour les bleus, alors d'un geste désespéré je tente de mouliner pour revenir en contact avec la belle et à cet instant retentit la sonnerie de mon portable que j'aperçois à mes pieds dans 20 cm d'eau. Il a du tomber lors de ma chute.
A ma grande surprise, ce n'est pas le téléphone qui sonne, mais le réveil pour aller au boulot, ce n'était qu'un rêve zut.
Mais qu'il est si dur de se dire que ce ne fût qu'un rêve car elle était là, je l'avais au bout de mes doigts, je la voyais déjà, elle la déesse de la rivière, celle de tant de convoitise, se tenir au creux de ma main m'offrant sa robe magique faite de ses si belles couleurs.
Avec un peu de patience, les rêves étant souvent prémonitoires, dans quelques mois, à l'ouverture, si la chance veut sourire, nous allons la recroiser, et ce rêve pour certains devenir réalité.
cerciel + de 500 posts - Date d'inscription : 01/03/2015
Re: Et si on écrivait quelques mots
Merci a David et Robert de nous avoir concocté la fin de cette prose
merci à tous ceux qui ont participé à sa rédaction, maintenant je vais faire la mise en page et vous la présenter
A+
merci à tous ceux qui ont participé à sa rédaction, maintenant je vais faire la mise en page et vous la présenter
A+
pappy-jeff Administrateur - Date d'inscription : 15/02/2015
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